Contexte

Certains d'entre vous pense que Disney ne contient aucune magie. Les films et les séries Disney ne sont que de simples histoires d'animations pour les plus jeunes. La magie, ça n'existe pas. Et pourtant, vous étiez tous dans l'erreur. Je connais la véritable histoire des Disney. Que ce soit des séries ou des films d'animations. Je connais leur passé mais aussi leur futur. Pour comprendre, il faut que je vous raconte mon histoire.

Walter Disney était un vrai génie. Je ne remettrais jamais en cause ses capacités. Je n'étais qu'un simple cadeau dans lequel il avait mis toutes ses idées, tous ses premiers écrits.  Je renferme des histoires dont vous n'avez jamais eu connaissance. Je n'étais qu'un simple livre d'histoires, ou presque. Walter l'avait très bien compris. J'avais le pouvoir de rendre ses histoires réelles, de faire vivre les personnages dans votre monde. Walter avait toujours fait en sorte de préciser que ce n'était qu'imaginaire, une idée pour une série ou un film d'animation. Les personnages n'ont jamais pu sortir et ils sont restés enfermés.

À la mort de Walter, ses successeurs ne faisaient que me consulter, n'osant jamais écrire dans ce livre qui avait appartenu à Disney. Enfin, c'était jusqu'à ce fameux jour. Quelqu'un est entré et à commencé à écrire.

Il était une fois, dans la ville abandonnée de Tyneham, tous les personnages Disney prirent vies. Chacun avait sa propre histoire et ils venaient des quatre coins du monde, repeupler cette ville fantôme. C'était un nouveau départ pour chacun d'entre eux. Ils se connaissaient dans l'imaginaire mais dans le monde réel, ils avaient oublié qui ils avaient pu fréquenter, de qui ils étaient tombés amoureux, qui avaient été leurs amis. Ils étaient devenus des étrangers...

C'est tout ce qui fut écrit. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé par la suite. Il y eut comme un bruit et on ferma mes pages avant de me glisser dans un sac et tout devient obscure. C'est ici que s'arrête mon histoire et c'est ici que commence la vôtre. Veillez me pardonner, je ne suis qu'un livre d'histoires. Je ne pouvais pas vous protéger.